La recherche pour combattre les idées reçues – Les filles et les STAPS, études des processus d’orientation
« Les garçons sont plus sportifs, c’est donc normal qu’il y ait moins de filles en STAPS ! Les filles réussissent mieux à l’école, c’est logique qu’elles visent des métiers plus attrayants et mieux rémunérés ». Comment expliquer La chute régulière du nombre de filles entrant en STAPS ? Quelles répercussions sur les recrutements d’enseignant-es d’EPS ? Comment interroger les évidences et nous poser les bonnes questions ?
Les enjeux et les résultats d’une recherche menée en collaboration avec le SNEP-FSU et le Centre EPS & Société seront exposés.
Animation Marc Boulogne
OTTOGALLI-MAZZACAVALLO Cécile
Maîtresse de conférences, L-Vis, Université de Lyon1.
SCHIRRER Mary
Enseignante-Chercheuse en STAPS à Nancy (Université de Lorraine), également PRAG EPS. Sociologue au LISEC (EA 2310) travaillant sur les questions d’orientation et de genre, mais aussi les usages du corps et l’éducation sensorielle à travers les pratiques physiques et sportives.
Les Actes
Les lycéen·nes et les STAPS : Etude des représentations de la filière et impact sur les choix d’orientation – Article ( C. Ottogalli-Mazzacavallo, M Schirrer)